TEP-TDM FDG: 700 USD
TEP-TDM Ga68 PSMA: 1700 USD
IRM du corps entier (3 Tesla): 900 USD
Radiochirurgie stéréotaxique (SRS): 4500 USD
Radiothérapie (à partir de): 4000 USD
Thérapie à l'iode radioactif (à partir de): 3500 USD
Bilan de santé (à partir de): 900 USD
Thérapie Lu-177 PSMA: 9000 USD
Thérapie PSMA Ac-225 (à partir de): 16000 USD
Chirurgie du cerveau (à partir de): 15000 USD
Chirurgie du cancer du sein (à partir de): 8000 USD
Analyse MIBG (à partir de): 2500 USD
TEP-TDM FDG: 700 USD
TEP-TDM Ga68 PSMA: 1700 USD
IRM du corps entier (3 Tesla): 900 USD
Radiochirurgie stéréotaxique (SRS): 4500 USD
Radiothérapie (à partir de): 4000 USD
Thérapie à l'iode radioactif (à partir de): 3500 USD
Bilan de santé (à partir de): 900 USD
Thérapie Lu-177 PSMA: 9000 USD
Thérapie PSMA Ac-225 (à partir de): 16000 USD
Chirurgie du cerveau (à partir de): 15000 USD
Chirurgie du cancer du sein (à partir de): 8000 USD
Analyse MIBG (à partir de): 2500 USD
Les traitements contre le cancer évoluent constamment et offrent aux patients des options ciblées plus efficaces pour combattre différents types de cancer. Parmi ces traitements, l’hormonothérapie (également appelée traitement hormonal ou thérapie endocrinienne) joue un rôle crucial dans la prise en charge des cancers sensibles aux hormones, comme les cancers du sein, de la prostate, des ovaires et de l’endomètre. Ce guide détaillé explore l’hormonothérapie, ses indications, ses avantages et les aspects importants que les patients doivent connaître.
L’hormonothérapie consiste à bloquer ou à modifier la production et l’action des hormones dans le corps. Elle est particulièrement efficace contre les cancers dits hormono-dépendants, dont la croissance est stimulée par des hormones comme l’œstrogène, la progestérone ou la testostérone. En régulant ou en supprimant ces hormones, ce traitement peut ralentir ou arrêter considérablement la croissance tumorale, réduire les risques de récidive et améliorer la qualité de vie des patients.
L’hormonothérapie s’administre généralement par des médicaments qui réduisent la production hormonale ou empêchent les hormones de se lier à leurs récepteurs. Parfois, une intervention chirurgicale peut être proposée pour retirer les organes producteurs d’hormones (ovaires ou testicules, par exemple).
L’hormonothérapie ne s’applique pas à tous les types de cancers, mais principalement aux cancers sensibles aux hormones, notamment :
Indiqué lorsque les tumeurs expriment les récepteurs hormonaux à l’œstrogène ou à la progestérone (ER/PR positif).
Traitements courants : Tamoxifène, inhibiteurs de l’aromatase (Anastrozole), ou suppression ovarienne.
Utilisé dans les cas avancés ou en complément à la radiothérapie pour réduire la taille des tumeurs.
Traitements fréquents : Agonistes ou antagonistes de la LHRH (Leuproréline), anti-androgènes (Bicalutamide) ou ablation chirurgicale des testicules.
Prescrit dans les cas avancés ou récidivants du cancer de l’endomètre hormono-sensible.
Traitement classique : thérapie à base de progestérone (acétate de mégestrol).
Parfois utilisé pour traiter les récidives du cancer ovarien hormono-sensible, mais moins fréquemment que dans les cancers du sein ou de la prostate.
L’hormonothérapie offre plusieurs avantages importants :
Traitement ciblé : agit spécifiquement sur les cellules cancéreuses exprimant des récepteurs hormonaux, limitant ainsi les effets secondaires sur les cellules saines.
Réduction de la croissance tumorale : ralentit ou stoppe la progression tumorale, améliorant le pronostic et la survie.
Prévention des récidives : réduit significativement le risque de récidive après une chirurgie ou une radiothérapie.
Facilité d’administration : souvent administrée par voie orale, facilitant le suivi du traitement à domicile.
Bien que l’hormonothérapie présente de nombreux avantages, il est important de connaître ses effets secondaires potentiels, dont la gravité dépend du médicament et de l’état général du patient.
Pour le cancer du sein (Tamoxifène, inhibiteurs de l’aromatase) :
bouffées de chaleur, changements d’humeur, prise de poids, ostéoporose, douleurs articulaires, fatigue, risque accru de caillots sanguins.
Pour le cancer de la prostate (LHRH, anti-androgènes) :
baisse de la libido, troubles érectiles, bouffées de chaleur, prise de poids, perte musculaire, ostéoporose, fatigue.
Un suivi régulier avec les oncologues permet de surveiller ces effets secondaires et de les gérer efficacement.
Avant de commencer l’hormonothérapie, des examens sont réalisés pour déterminer si la tumeur est hormono-sensible. Pendant le traitement, des contrôles réguliers (analyses sanguines, imagerie médicale, suivi clinique) permettent d’ajuster les dosages et de vérifier l’efficacité du traitement. Il est important de maintenir une bonne communication avec l’équipe médicale, surtout en cas d’effets secondaires.
En général, l’hormonothérapie fait partie d’un protocole global, en complément de la chirurgie, de la chimiothérapie ou de la radiothérapie.
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