TEP-TDM FDG: 700 USD
TEP-TDM Ga68 PSMA: 1700 USD
IRM du corps entier (3 Tesla): 900 USD
Radiochirurgie stéréotaxique (SRS): 4500 USD
Radiothérapie (à partir de): 4000 USD
Thérapie à l'iode radioactif (à partir de): 3500 USD
Bilan de santé (à partir de): 900 USD
Thérapie Lu-177 PSMA: 9000 USD
Thérapie PSMA Ac-225 (à partir de): 16000 USD
Chirurgie du cerveau (à partir de): 15000 USD
Chirurgie du cancer du sein (à partir de): 8000 USD
Analyse MIBG (à partir de): 2500 USD
TEP-TDM FDG: 700 USD
TEP-TDM Ga68 PSMA: 1700 USD
IRM du corps entier (3 Tesla): 900 USD
Radiochirurgie stéréotaxique (SRS): 4500 USD
Radiothérapie (à partir de): 4000 USD
Thérapie à l'iode radioactif (à partir de): 3500 USD
Bilan de santé (à partir de): 900 USD
Thérapie Lu-177 PSMA: 9000 USD
Thérapie PSMA Ac-225 (à partir de): 16000 USD
Chirurgie du cerveau (à partir de): 15000 USD
Chirurgie du cancer du sein (à partir de): 8000 USD
Analyse MIBG (à partir de): 2500 USD
Le cancer du poumon reste l’une des principales causes de décès liés au cancer dans le monde. Les avancées récentes en immunothérapie ont permis le développement de vaccins visant à traiter et prévenir cette maladie. Ces vaccins stimulent le système immunitaire pour reconnaître et attaquer les cellules cancéreuses.
Contrairement aux vaccins traditionnels qui préviennent les infections, les vaccins anticancéreux sont conçus pour traiter les cancers existants ou empêcher leur récidive. Ils fonctionnent en introduisant des antigènes spécifiques aux cellules cancéreuses dans l’organisme, ce qui pousse le système immunitaire à cibler et détruire ces cellules.
Développé par le Centre d’Immunologie Moléculaire de La Havane, à Cuba, le CimaVax-EGF cible le facteur de croissance épidermique (EGF), une protéine qui favorise la croissance des cellules cancéreuses. En induisant une réponse immunitaire contre l’EGF, ce vaccin vise à ralentir ou stopper la progression tumorale. Il est utilisé à Cuba depuis 2011 et fait actuellement l’objet d’essais cliniques dans d’autres pays, notamment aux États-Unis.
BioNTech a lancé des essais cliniques mondiaux sur le vaccin BNT116, basé sur la technologie de l’ARN messager (ARNm) et destiné au traitement du cancer du poumon non à petites cellules (NSCLC). Ce vaccin utilise la même technologie que les vaccins contre la COVID-19 pour entraîner le système immunitaire à reconnaître et éliminer les cellules cancéreuses. Les essais sont en cours au Royaume-Uni, aux États-Unis, en Allemagne et en Turquie.
Le vaccin thérapeutique Racotumomab cible le N-glycolyl GM3 ganglioside, une molécule présente sur la surface de nombreuses cellules cancéreuses. Il a été approuvé en Argentine et à Cuba pour le traitement du cancer du poumon non à petites cellules avancé et est actuellement en cours de développement clinique dans d’autres régions.
Ces derniers mois, plusieurs avancées notables ont été réalisées dans le domaine des vaccins contre le cancer du poumon :
Un premier patient au monde reçoit le vaccin BNT116 : Un patient de 67 ans à Londres est devenu le premier à recevoir ce vaccin expérimental dans le cadre d’un essai clinique international. Cette initiative ouvre la voie à l’utilisation de l’ARNm dans l’immunothérapie du cancer.
Des vaccins pour prévenir le cancer avant son apparition : Des chercheurs explorent la possibilité de développer des vaccins capables d’éliminer les cellules précancéreuses et les mutations génétiques associées à un risque élevé de cancer. Des essais cliniques sont en cours pour des patients présentant des mutations génétiques comme le syndrome de Lynch ou la mutation BRCA, afin d’empêcher la transformation des cellules mutées en tumeurs malignes.
Malgré ces avancées prometteuses, certains défis restent à relever :
Assurer l’efficacité et la sécurité des vaccins pour différents profils de patients.
Intégrer ces vaccins dans les protocoles de traitement existants.
Rendre ces vaccins accessibles à un plus grand nombre de patients à travers le monde.
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